top of page
2019Julie_Robard_Gendre_©ChristineLedro

PRESSE.

La musicalité, l'allure, la maitrise vocale de Julie Robard-Gendre servent la conception de Massenet et de son librettiste, Henri Caïn : C'est la belle Dulcinée (...).

La mezzo française excelle autant en vocalises brillantes que dans la mélancolie et l'on comprend que pour le chevalier mourant, elle devienne l'étoile qu'il fixe dans les cieux.

Patrice Henriot / Opéramag Mars 20

"L'ouvrage devrait-il s’intituler Fenena ?

La voix riche, homogène, souple, timbrée sur toute sa tessiture, la musicalité, l’allure scénique de la mezzo francaise Julie Robard-Gendre, signent une réévaluation de la première : un personnage principal." 

Patrice Henriot / Opéra Magazine Juin 18

« Il faut en effet désormais considérer la mezzo française comme l’une des plus convaincantes Carmen du moment. Sur scène, elle se signale par la silhouette longiligne, le port altier, le sourire carnassier et l’aisance des mouvements ; sûre de son irrésistible pouvoir de séduction, sa cigarière croque la vie avec sincérité sans se soucier de quiconque.

La voix, parfaitement homogène sur l’ensemble de la tessiture et teintée de nuances fauves, se déploie avec aisance mais refuse l’effet et ne cède jamais à la vulgarité. Julie Robard-Gendre maîtrise le rôle sans la moindre chute de tension et nous ravit en particulier au deuxième acte, d’une chanson bohème très virtuose à un «Je vais danser en votre honneur » de grande classe. » 

Vincent Deloge / Resmusica Juin 2017

bottom of page