« Cette Cendrillon est aimée par le Prince de Julie Robard-Gendre, mezzo plus sombre, idéalement androgyne, faisant passer dans la vibration charnelle de ses emportements un mélange de flamme et de lassitude assez irrésistible. »
Emmanuel Dupuy – Diapasonmag
« Elle trouve dans la mezzo nantaise Julie Robard-Gendre – inoubliable Orphée ici-même il y a quelques saisons – une interprète d’exception : son timbre riche, allié à un étonnant pouvoir d’émotion, traduit idéalement le mal de vivre et les premiers émois du Prince. On retrouve alors la véritable identité d’un rôle en travesti que la seule intégrale discographique avait jadis préféré confier à un ténor. » Emmanuel Andrieu – Opéra Online