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Revue de presse

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Ariane de Massenet - Perséphone

Prinzregententheater, Munich,  janvier 2023


"Mais c’est la Perséphone de Julie Robard-Gendre qui crève la scène ce soir. Le personnage n’apparaît qu’au cours de l’acte IV qui lui est dédié et la mezzo-soprano offre une petite capsule de perfection. Alors que sa Perséphone est d’abord d’une bizarrerie effrayante, elle évolue progressivement vers le dévoilement d’une vulnérabilité émouvante au cours de l’air des roses. Si le livret implique un changement de ton qui peut paraître abrupte lorsque Perséphone accepte soudainement de laisser Phèdre repartir parmi les vivants, Julie Robard-Gendre réussit à mettre ce curieux revirement sur le compte d’une personnalité hors norme, aussi instable que le passage d’une saison à l’autre. La texture sombre de la voix lui permet d’enténébrer sa Perséphone comme il se doit. "

Tancrède Lahary / Forum opéra

 

"Le public doit attendre le quatrième acte pour vivre une véritable sensation. Car c'est là qu'apparaît Julie Robard-Gendre sur scène, toute de noir vêtue comme cela sied à Perséphone (...)De sa puissante voix de mezzo-soprano, aux graves aussi oppulents qu'androgynes, Julie Robard-Gendre fait du quatrième acte de l'opéra "Ariane" de Massenet le point culminant de la soirée, car elle deploie avec son talent d'actrice, son contrôle corporel et le calme surnaturel de son chant de vraies profondeurs mystiques dans le si mondain Prinzregententheater. "

Mickael Bastian Weiss /Abendzeitung

 

"Julie Robard-Gendre impressionne en Perséphone, par ses graves pénétrants de contralto. Son timbre ardent, rougi par les flammes d’outre-tombe, est léché d’accents aigus plus lyriques. Son chant reste constamment nuancé, appuyé sur un souffle abondant."

Damien Dutilleul / Olyrix

 

"Silhouette pointue et élégante, Julie Robard-Gendre impressionne en Perséphone, galbant des lignes qui semblent ne jamais finir, aussi « implacable et funeste » lorsque son mezzo s’élance dans l’aigu, ou déclame comme une tragédienne de la Belle Époque : bravo."

François Laurent / diapasonmag

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La Tragédie de Carmen - Rôle-titre

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Tournée 2022

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"Julie Robard Gendre, enfin, séduit par son timbre capiteux, ses graves assurés, son implication de tous les instants – mais aussi sa caractérisation fine du personnage, sorcière inquiétante autant que femme fatale prenant les hommes au piège de sa séduction. Une caractérisation qui doit certes à son chant, mais aussi à sa physionomie particulièrement expressive, capable de rendre compte finement des sentiments qui agitent le personnage."

Stéphane Lelièvre - Premiereloge

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"La mezzo-soprano Julie Robard-Gendre est ensorcelante dans le rôle-titre. Sa Carmen attise les braises et entretient avec chacun des personnages un jeu d’ardente séduction, y compris avec Micaëla qu’elle défie autant qu’elle provoque en l’enlaçant et l’embrassant sur la bouche. Elle est sans limite et sa liberté est totale. Carmen semble être une seconde peau pour son interprète tant elle prend possession du personnage en devenant la femme séductrice et charnelle voulue par Mérimée."

Brigitte Maroillat - Forumopéra

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"Lorsqu’enfin la bohémienne se dévoile, c’est la révélation. La mezzo-soprano Julie Robard-Gendre est captivante dans lerôle titre. Elle attire inévitablement le regard et évolue avec un naturel épatant dans la peau de la jeune et dangereuseCarmen. L’Amour est un oiseau rebelle est mis en scène comme un grand tube de variété, on se croirait un instant chez lesCarpentier et cela fonctionne. En quelques notes, l’interprète prend possession du public et devient la femme puissante,séductrice et charnelle que nous décrivait Mérimée."

Peter Avondo / Snobinart

 

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Ariadne auf Naxos – Der Komponist

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Opéra de Limoges, 2022

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« Julie Robard-Gendre marque les esprits en Compositeur par la brillance de sa voix chaude et puissante au timbre profond et aux graves sûrs. Comme sa composition scénique, son phrasé est construit, voire parfois emporté dans un lyrisme poignant. »

Damien Dutilleul – Olyrix

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« C’est une très belle proposition portée par une distribution d’une grande cohérence mais que survole quand même le compositeur incandescent de la mezzo Julie Robard-Gendre, remarquable de souffle, de puissance et d’investissement scénique. On admire les couleurs extraordinaires de son timbre rond et chaud, irradiant de jeunesse et d’insolence et une technique superlative qui lui permet d’assumer les paradoxes de sa partition, entre théâtre et grand lyrique. »

Steeve Boscardin – ResMusica

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« Julie Robard-Gendre trouve avec le Compositeur un nouveau rôle travesti à sa mesure, et dans lequel elle s’investit avec une sensibilité vibrante. » Laurent Bury – Concertclassic.com 

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« Sombre, mais dardé jusqu’à l’incandescence, le premier Compositeur de Julie Robard-Gendre tutoie déjà l’idéal. »

Mehdi Mahdavi – Opéra Magazine

 

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Akhnaten – Nefertiti

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Opéra de Nice, 2021

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« En reine Nefertiti, Julie Robard-Gendre constitue le pendant de la voix haute-perchée de di Falco, avec son timbre capiteux, chaud et, en conséquence, plus terrestre. »

Paul Fourier – Toute La Culture

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« Julie Robard-Gendre (l’épouse, la reine Nefertiti) [a] la voix chaude, l’expression lyrique. »

André Peyrègne – Forum Opéra 

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« Néfertiti est voulue voluptueuse avec le choix de Julie Robard-Gendre, très applaudie, au mezzo de geai bleu-noir, aux plumes sonores d’une belle facture luisante. Sa voix s’entrelace à celle de son époux, dans leurs duos, pour former ce mélange d’hydromel qui étanche les soifs divines. »

Florence Lethurgez – Olyrix

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 «  Fabrice di Falco livre avec Julie Robard-Gendre (Nefertiti) un exceptionnel duo, l’un des grands moments de chant de la pièce. De la générosité, du velours et de la puissance chez la mezzo, fort applaudie au terme de la représentation dominicale. »

Michel Egea – Concert Classic

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«  Julie Robard-Gendre dans le rôle de Nefertiti, Patrizia Ciofi dans celui de la mère d’Akhnaten, la Reine Tye, sont toutes deux magnifiques de profondeur, de séduction vocale et d’engagement émotionnel. »

Hélène Pierrakos – Web Theatre

 

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La Clemenza di Tito – Sesto

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Angers-Nantes Opéra, 2021

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« Julie Robard-Gendre fait un tabac dans le rôle de Sesto, avec une expression revendiquée d’une individualité propre face à Vitellia, loin du pantin sous emprise. Elle défend un personnage exaltant et complexe, soutenu par des vocalises torrentielles et une exactitude du discours musical. Le placement n’est pas seul en jeu : il y a aussi la profondeur d’immersion dans les notes et le souffle intangible du vibrato. La mezzo nantaise campe l’amoureux et le traître repenti avec une conviction constante, et surtout un gosier insubmersible. »

Thibault Vice – Opéra Online

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« Julie Robard-Gendre est un Sesto épatant et ne fait qu’une bouchée d’une partition nécessitant des trésors de technique vocale et d’implication dramatique.  Son « Parto, ma tu ben mio… », moment musical tant attendu, est à ce niveau une réussite. »

Romaric Hubert – Première Loge

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« De la très belle distribution, on retiendra déjà le Sextus de Julie Robard-Gendre. Sensible, aveuglé par son amour pour Vitellia, le personnage apparaît ici avec toute sa complexité, sa fragilité, ses hésitations, ses déchirures, comme avec sa noblesse et sa générosité. La voix, sombre, sonore, idéale pour cet emploi, est admirablement conduite. La progression psychologique est juste, également traduite par le jeu dramatique. L’émotion, d’une rare intensité au second acte (« Deh per questo istante solo »), hisse Sextusau premier plan. Le public lui réservera ses acclamations les plus chaleureuses. »

Yvan Beuvard – Forum Opéra 

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« Julie Robard-Gendre prend le rôle de Sesto, oscillant dans son jeu entre fragilité et émotivité pour incarner sa torture entre amour et loyauté. La voix de la mezzo-soprano, ronde et sonore, présente une homogénéité dans les différents registres. Les couleurs sont variées, avec un travail sur les nuances et le mezza-voce, ainsi que des vocalises précises. Son timbre se mêle harmonieusement avec celui de la clarinette dans l’air « Parto, parto », et elle est fort applaudie »

Véronique Boudier – Ôlyrix

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« Du solide plateau se distingue nettement le Sesto ardent, et très crédible physiquement, de Julie Robard-Gendre. Son mezzo, sombre et puissant, est capable des vocalises de « Parto, ma tu ben mio », comme des phrases suspendues de « Deh, per questo istante solo ». »

Thierry Guyenne – Opéra Magazine

 

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Hamlet (Ambroise Thomas) – Gertrude

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Opéra de Rennes, 2019

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« Julie Robard-Gendre, mémorable Carmen en 2017 à l’opéra de Rennes, campe une Gertrudesolennelle et grave, autant Reine que mère, autant altière qu’inquiète face à son fils. Son timbre puissant, allié à sa naturelle élégance, est un atout qu’elle met en avant à chacune de ses interventions. »

Laurent Kontzler – Unidivers

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« Julie Robard-Gendre, quant à elle, marie une présence souveraine et une sensualité électrique qui résonnent tout particulièrement pour le public rennais qui avait salué sa remarquable Carmen. »

Tania Bracq – Forum Opera

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« Les couleurs sombres de la voix de Julie Robard-Gendre campent une reine altière, tragique. » Ouest France

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Opéra Angers-Nantes, 2019

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« Julie Robard-Gendre est une Gertrude majestueuse, tant sur le plan vocal que scénique. » 

Laurent Bury – Forum Opéra

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« La nantaise Julie Robard-Gendre (remarquée dans son rôle de Carmen à Rennes) campe la mère d’Hamlet, la Reine Gertrude. Sa silhouette longiligne, son port altier lui donne une allure majestueuse qui convient parfaitement au rôle. La puissance de son timbre de mezzo-soprano homogène sur l’ensemble de la tessiture teintée de nuances fauves se déploie avec aisance. Investie dans son jeu d’actrice, elle sait tout aussi bien être royale, cajoleuse, inquiète et elle impressionne particulièrement à l’acte III lors de la confrontation houleuse avec son fils. »

Véronique Boudier – Olyrix

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« Julie Robard-Gendre, altière Gertrude, aussi proche d’une fée de Lewis Carroll que d’une Lady Macbeth, témoigne d’une homogénéité sans faille, du suraigu aux graves sombres sans poitrinage excessif. » Patrice Henriot – Opéra Magazine

 

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Die Zauberflöte – Zweite Dame

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Opéra National de Paris, 2019

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« Chiara Skerath, Julie Robard-Gendre et Élodie Méchain sont trois Dames de luxe, bien appareillées vocalement et synchronisées rythmiquement. La Première offre une voix pure et acidulée, une projection directe et un vibrato rapide. La Deuxième dispose d’un médium électrique à l’intense vibrato. La Troisième creuse la douce profondeur d’une contralto. » Damien Dutilleul – Olyrix

Les trois dames, dans l’ordre Chiara Skerath, Julie Robard-Gendre et Elodie Méchain, forment un trio de grande qualité, dont on apprécie l’heureuse complémentarité des voix. Espiègles et charmeuses, les femmes de main de la Reine de la Nuit amusent autant qu’elles n’impressionnent. » Quentin Laurens – Web théâtre

 

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Cendrillon – Le Prince

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Angers-Nantes Opéra, 2018

« La mezzo française est poignante dans l’expression de la mélancolie, et elle a belle allure quand l’amour triomphe. »

Jean-Luc Macia – Opéra Magazine

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« Insoupçonnable travesti, Julie Robard-Gendre confirme combien il est regrettable de confier le rôle du Prince à un ténor. Son mezzo-soprano sombre parvient à tracer son propre sillon dans ce jardin de voix féminines. »

Christophe Rizoud – Forum Opéra

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« En mezzo travestie, la nantaise Julie Robard-Gendre (qui a récemment chanté le rôle d’Orphée à Avignon, et de Ghita dans Le Nain à Lille) est un véritable Prince Charmant, onirique et sincère mais qui fournit également la gravité au drame, (nonobstant sa scène comique cachée sous la couette, en prince mélancolique isolé sur un piédestal en marbre). Sa voix peut passer d’un timbre sombre vers les couleurs de l’exaltation, les passages aigus sont dramatiques et excitants, restant bien intégrés à tout l’ambitus, son phrasé est particulièrement liquide et musical. »

Paula Gaubert – Ôlyrix

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« De plus, sa voix s’harmonise très bien avec celle, aux couleurs plus fauves, de Julie Robard-Gendrequi s’investit dans le rôle du Prince avec une fougue peu commune mais dont le chant reste admirablement contrôlé. »

Vincent Deloge – ResMusica

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« Cette Cendrillon est aimée par le Prince de Julie Robard-Gendre, mezzo plus sombre, idéalement androgyne, faisant passer dans la vibration charnelle de ses emportements un mélange de flamme et de lassitude assez irrésistible. »

Emmanuel Dupuy – Diapasonmag

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« Elle trouve dans la mezzo nantaise Julie Robard-Gendre – inoubliable Orphée ici-même il y a quelques saisons – une interprète d’exception : son timbre riche, allié à un étonnant pouvoir d’émotion, traduit idéalement le mal de vivre et les premiers émois du Prince. On retrouve alors la véritable identité d’un rôle en travesti que la seule intégrale discographique avait jadis préféré confier à un ténor. »

Emmanuel Andrieu – Opéra Online

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Nabucco – Fenena

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Opéra de Toulon, 2018

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« La Fenena de la mezzo-soprano Julie Robard-Gendre est d’excellente tenue et son «Oh, dischuiso è il firmamento» est justement applaudi. »

Christian Dalzon – ConcertoNet 

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« En à peine quelques phrases, de sa voix large et sombre de mezzo et de son élégance physique, Julie Robard-Gendre campe une Fenena pleine de noblesse tragique déjà prête au sacrifice. »

Benito Pelerin – Classique News

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« La jeune mezzo nantaise Julie Robard-Gendre fait sensation en Fenena, avec notamment son très beau legato. »

Emmanuel Andrieu – Opera Online

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Opéra de Nice, 2018

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« Fenena est habitée par la mezzo française Julie Robard-Gendre. Les graves sont d’une pleine cire chaude. Son ruban vocal fusionne étrangement avec le timbre plus léger d’Ismaël. La résonance de poitrine entonne un chant de la terre, avant de gagner le ciel, avec le viatique de magnifiques pianissimi. Le timbre de jour est transfiguré en nuit éternelle. » 

Florence Lethurgez – Ôlyrix

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« L’ouvrage devrait-il s’intituler Fenena ? Ou Zaccaria ? La voix riche, homogène, souple, timbrée sur toute sa tessiture, la musicalité, l’allure scénique de la mezzo française Julie Robard-Gendre, signent une réévaluation de la première : un personnage principal. »

Patrice Henrot – Opéra Magazine

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« Julie Robard-Gendre en Fenena semble être la plus belle artiste de la soirée, le meilleur alliage entre puissance et beauté d’une voix riche en harmoniques. Elle délivre en tout cas de magnifiques piani. »
Irma Foletti – Anaclase

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« Evgeny Stavinsky (basse) emporta quant à lui l’adhésion unanime du public tout comme la Fenena, personnage à l’importance plus modeste magnifiquement interprétée par Julie Robard-Gendre, mezzo-soprano au timbre réjouissant.» 

Émilien Moreau – Journal Zibeline

 

Le Nain (Zemlinsky) – Ghita

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Opéra de Rennes, 2018

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« A l’égocentrisme de l’Infante répond l’empathie de sa suivante, Ghita, que Julie Robard-Gendre colore de toute la palette de son art. Velouté, sensualité d’une voix d’or sombre, franchise de l’émission, justesse de l’incarnation, elle complète magnifiquement le trio des protagonistes du drame.»

Tania Bracq – ForumOpera

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« Sa camériste, plus compatissante, est interprétée par Julie Robard-Gendre qui confirme ses atouts : grâce et intensité scéniques, chaleur du timbre et aisance vocale. »

Vincent Deloge – ResMusica

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« Très convaincant, il reçoit rapidement la réponse d’une excellente Julie Robard-Gendre, un peu surdimensionnée pour un si modeste emploi. Pas étonnant qu’elle soit notre coup de coeur vocal du jour, tant son assurance et sa prestation la situent au-dessus du lot. »  

Thierry Martin – Unidivers

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« Très applaudie et appréciée du public rennais grâce à sa prestation de Carmen la saison précédente, Julie Robard-Gendre est une Ghita impressionnante. Sa voix de mezzo-soprano est puissante, bien projetée. Le timbre chaud avec son vibrato très perceptible, son phrasé très expressif donne un caractère noble et humain à son personnage, le seul qui exprime de la compassion. »

Véronique Boudier – Olyrix

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« Julie Robard-Gendre n’en a que plus de facilité à l’éclipser. On ne voit qu’elle. Déjà remarquée, ici à Rennes, dans le rôle-titre d’un Carmen mémorable, elle casse la baraque. Son duo avec Mathias Vidal devient le sommet inattendu de ce spectacle inégal. À l’évidence, les deux chanteurs s’apprécient et livrent là un très beau moment où, enfin, l’émotion affleure. »

Olivier Pansieri – Les Trois Coups

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Opéra de Lille, 2017

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«Très applaudie, Julie Robard-Gendre est une Ghita magistrale (…) son timbre somptueux de mezzo fait merveille pour le seul personnage vraiment humain de cette cour d’Espagne. »

Laurent Bury – Forum Opéra

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« The best singing of the evening on November 18 came from Julie Robard-Gendre as Ghita, principal lady-in-waiting. With sure, penetrating mezzo timbre, Robrad-Gendre appealed for the humiliation of the dwarf to stop. Her final confrontation with Vidal’s broken man was the most moving moment of the evening; she expressed love and respect for the character as she passed him the white rose given to him by the Infanta. » 

Stephen J. Mudge – Operanews

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« Sa camériste, Ghita, est interprétée par Julie Robard-Gendre à la voix noble et ample, au timbre chaud et profond, au vibrato fort et rond. »

Damien Dutilleul – Ôlyrix

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« Mention spéciale, aussi, à la voix exquise de Julie Robard-Gendre, dans le rôle de Ghita, une camériste. »

Benjamin Duthoit – La Voix du Nord

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« Julie Robard-Gendre traduit elle aussi avec justesse les hésitations de Ghita, entre empathie, curiosité et détachement, d’un timbre voluptueux riche d’autorité »

Chantal Cazaux – L’Avant-Scène Opéra

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« Julie Robard-Gendre assure une prestation plus magnétique, par le volume et le timbre. »

Sébastien Foucart – ConcertoNet.com

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